Bienvenue dans mon univers
Bonjour et bienvenue sur Passion Philatélique,
ce site sans prétention aucune à pour but de vous faire découvrir mon univers, ma passion des timbres, des courriers autrement.
En tant que philatéliste passionné, il n'existe pas à mes yeux de plus grande joie que celle d'acquérir une nouvelle pièce de collection.
C'est pourquoi je passe tant de temps et investi tant d'énergie à les réunir. Ce qui a commencé comme un simple hobby et devenu une réelle passion au fil du temps et je souhaite la partager avec vous.
J'espère que votre voyage à travers ces pages vous aura donné envie vous aussi, de venir rejoindre le club des philatélistes. N'hésitez pas à rejoindre le forum et partager votre passion !!!
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Les 3 derniers billets
Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie fin septembre 2022 des tomes 2 et 3 du livre
Les Indésirables, les camps d’internés civils Français et Etrangers en France et dans les Colonies
1939 - 1946
Dans le tome 2 nous traitons en première partie :
- L’internement de plus de 30 politiques, industriels, « responsables de la défaite »
- Le travail forcé avec les GTE et le Service Social des Etrangers
- Les œuvres et associations d’aide aux internés
- L’occupation italienne dans le Sud de la France
En deuxième partie ce sont les camps des 47 départements qui n’avaient pas été étudiés dans le tome1.
Dans le tome 3, nous abordons les camps dans les Colonies, Protectorats et départements d’Outre-mer, cela concerne 20 Pays.
L’intérêt est aussi de voir les liens entre la France métropolitaine et les Colonies et les nombreux transferts des Indésirables des camps vers les Colonies.
Ensuite, nous avons ajouté l’index des noms de personnes, lieux et départements des 3 tomes, ce qui représente environ 6 000 références.
Nous clôturons un travail immense de près de 8 années avec Henri Neimark, Lionel Barriquand, Laurent Bonnefoy et votre rédacteur, avec la visite de plus de 100 archives et la copie de plus de 200 000 documents. Nous avons identifié 2 350 camps et 135 centres d’accueil d’associations, reproduit près de 1 500 cachets de camps, 175 lettres et plus de 260 illustrations.
Vous pouvez aussi consulter notre site internet http://philatelie-aix.fr rubrique nos projets.
Les Indésirables tome 1 a reçu le Prix Littéraire de l’Académie de Philatélie en juin 2022 remis par Robert Abensur, Président.
Après que vous ayez acheté le tome 1, ces 2 tomes complètent avantageusement ce sujet qui n’a jamais été traité dans sa globalité ni dans un tel détail. Aussi nous vous proposons une offre très abordable, en souscription jusqu’à fin septembre 2022, à 20 € pour le tome 2 et 10 € pour le tome 3, une participation aux frais de port de 5 € par ouvrage envoyé, est demandée.
Serge Klarsfeld le qualifie dans sa préface pour les chercheurs historiens « d’un ouvrage de référence qui leur sera désormais indispensable. J'en parle en connaissance de cause… »
Nous comptons sur votre soutien et n’hésitez-pas à en parler dans votre entourage.
Bien à vous
G. Marchot
Guy Marchot
18 impasse du champ de manœuvre 13100 Aix-en-Provence
Tel 06 16 01 96 38 ou 04 42 21 09 05
Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie fin septembre 2022 des tomes 2 et 3 du livre
Les Indésirables, les camps d’internés civils Français et Etrangers en France et dans les Colonies
1939 - 1946
Dans le tome 2 nous traitons en première partie :
- L’internement de plus de 30 politiques, industriels, « responsables de la défaite »
- Le travail forcé avec les GTE et le Service Social des Etrangers
- Les œuvres et associations d’aide aux internés
- L’occupation italienne dans le Sud de la France
En deuxième partie ce sont les camps des 47 départements qui n’avaient pas été étudiés dans le tome1.
Dans le tome 3, nous abordons les camps dans les Colonies, Protectorats et départements d’Outre-mer, cela concerne 20 Pays.
L’intérêt est aussi de voir les liens entre la France métropolitaine et les Colonies et les nombreux transferts des Indésirables des camps vers les Colonies.
Ensuite, nous avons ajouté l’index des noms de personnes, lieux et départements des 3 tomes, ce qui représente environ 6 000 références.
Nous clôturons un travail immense de près de 8 années avec Henri Neimark, Lionel Barriquand, Laurent Bonnefoy et votre rédacteur, avec la visite de plus de 100 archives et la copie de plus de 200 000 documents. Nous avons identifié 2 350 camps et 135 centres d’accueil d’associations, reproduit près de 1 500 cachets de camps, 175 lettres et plus de 260 illustrations.
Vous pouvez aussi consulter notre site internet http://philatelie-aix.fr rubrique nos projets.
Les Indésirables tome 1 a reçu le Prix Littéraire de l’Académie de Philatélie en juin 2022 remis par Robert Abensur, Président.
Après que vous ayez acheté le tome 1, ces 2 tomes complètent avantageusement ce sujet qui n’a jamais été traité dans sa globalité ni dans un tel détail. Aussi nous vous proposons une offre très abordable, en souscription jusqu’à fin septembre 2022, à 20 € pour le tome 2 et 10 € pour le tome 3, une participation aux frais de port de 5 € par ouvrage envoyé, est demandée.
Serge Klarsfeld le qualifie dans sa préface pour les chercheurs historiens « d’un ouvrage de référence qui leur sera désormais indispensable. J'en parle en connaissance de cause… »
Nous comptons sur votre soutien et n’hésitez-pas à en parler dans votre entourage.
Bien à vous
G. Marchot
Guy Marchot
18 impasse du champ de manœuvre 13100 Aix-en-Provence
Tel 06 16 01 96 38 ou 04 42 21 09 05
Le Ban Saint-Jean (Stalag XII F/Z), un camp oublié.
Le Camp du Ban Saint-Jean ( Johannis Bannberg-Bolchen ) situé près de Boulay en Moselle dépendant du Stalag XII F situé à Forbach, est une ancienne caserne construite à partir de 1934 jusqu’à 1936 pour accueillir les Troupes françaises de la Ligne Maginot. Construite sur une superficie de 88 hectares sur un terrain de 115 hectares, on l'appelait " La Rose de la Ligne Maginot ".
Vue de la Caserne du Ban Saint Jean © R.Zimmer
Après la défaite française, la Wehrmacht prend possession du camp à l'automne 1940 et le transforme en camp de prisonniers de guerre français et serbes.( Frontstalag).
En Septembre 1941, suite à l’Opération Barbarossa »et la grande quantité de prisonniers que celle ci a engendré, il devient un camp de remise en état pour les prisonniers de guerre Soviétiques à majorité Ukrainiennes dont la plupart iront travailler dans les entreprises locales, les fermes environnantes pour les plus chanceux et les mines de fer et de charbon de Lorraine.
Ruine d’un bâtiment abritant certainement l’administration du Camp © photo personnelle
L’histoire du Camp de Ban Saint-Jean est resté longtemps oublié de tous. Le sort des prisonniers y ayant étaient internés, est encore assez flou aujourd’hui. Après la guerre en 1946, l’Armée française repris possession des lieux et y fit stationner le 151ème R.I ainsi qu’une partie du 2ème R.G mais le camp étant en mauvais état, il fut abandonné en 1948 et servira jusque dans les années 1990 comme lieu de manœuvres et d’entraînements. Aujourd’hui, ce lieu a été restitué à la commune de Denting pour le franc symbole par l'armée.
D’octobre 1941 à l’automne 1944, 300 000 prisonniers ont transités dans ce camp, confrontés à un travail dur, exposés aux maladies et aux manques de nourritures, plus de 23 000 personnes auraient péri dans ce lieu selon une plaque trouvée sur place à la fin de la guerre. Plus de 28 000 d’après les chiffres avancés par les autorités allemandes.
Maison d’officier dont l’état est encore assez correct © photo personnelle.
Dès la fin de la guerre en Octobre 1945, 206 fosses furent découvertes renfermant chacune d’une vingtaine à plus d’une centaine de corps selon les constations de l’époque. Le nombre présumé de victimes fut corroboré par les exhumations par des prisonniers de guerre allemand quelques temps après. Des témoignages recueillis d’anciens habitants, atteste de la présence d’un four crématoire sur place mais impossible de vérifier et d’enquêter, le site étant interdit d’accès.
Après 1947, le Camp tomba dans l’oubli et dans l’indifférence de tous. En 1978 cependant de façon inattendu l’ URSS demanda à ce que les corps soient exhumés afin d’être regroupés à la Nécropole Soviétique de Noyers-Saint-Martin. En plein milieu de la nuit dans des conditions climatiques des plus défavorables et à la surprise de tous, le cimetière de Ban de Saint-Jean fut creusé et les ossements furent emportés dans des sacs plastiques. Officiellement l’Etat français a acté l’exhumation de 2 879 dépouilles et a conclu que seul ce nombres de détenus ont péri dans ces lieux.
Casernement et garage © photo personnelle.
Ce chiffre officiel fait fortement polémique dans les milieux avertis. Depuis plus de vingt ans maintenant, Mr Gabriel Becker agrégé d’allemand et vice président de l'AFU ( Association Franco-Ukrainienne pour la réhabilitation du Ban Saint-Jean) oeuvre afin que le site soit reconnu comme un lieu de mémoire en hommage aux milliers de victimes Ukrainiennes et Soviétiques.
Seul de nouvelles fouilles, systématiques et approfondies, pourraient lever le voile qui entoure le nombre de victimes qui périrent à Ban Saint-Jean. Mais à ce jour, la commune de Denting semble avoir un autre projet pour le site, à savoir l'installation d'un parc photovoltaïque de 35 hectares et la pose de 6 éoliennes à côté de ce lieu de mémoire. Autant dire que ce projet n'est pas vraiment bien accueilli au sein de la population.
Vue aérienne du Ban Saint-Jean © Pan Doktor
Si un jour, un musée-mémorial venait à voir le jour et des fouilles entreprises minutieuses, qui viendraient corroborer le nombre de victimes du Ban Saint-Jean, ce lieu deviendrait alors dans les mémoires comme l’endroit où périrent le plus grand nombre de prisonniers de guerre sur le sol de France.
Inauguration d'une stèle sur le site le 24 Juin 2012
( © photo personnelle, en 1989-1990, Maréchal des Logis au 61ème RA de Morhange, je fis des manœuvres dans ce lieu mais je ne savais pas à cette époque l’origine de ce terrain militaire. )
Le Ban Saint-Jean (Stalag XII F/Z), un camp oublié.
Le Camp du Ban Saint-Jean ( Johannis Bannberg-Bolchen ) situé près de Boulay en Moselle dépendant du Stalag XII F situé à Forbach, est une ancienne caserne construite à partir de 1934 jusqu’à 1936 pour accueillir les Troupes françaises de la Ligne Maginot. Construite sur une superficie de 88 hectares sur un terrain de 115 hectares, on l'appelait " La Rose de la Ligne Maginot ".
Vue de la Caserne du Ban Saint Jean © R.Zimmer
Après la défaite française, la Wehrmacht prend possession du camp à l'automne 1940 et le transforme en camp de prisonniers de guerre français et serbes.( Frontstalag).
En Septembre 1941, suite à l’Opération Barbarossa »et la grande quantité de prisonniers que celle ci a engendré, il devient un camp de remise en état pour les prisonniers de guerre Soviétiques à majorité Ukrainiennes dont la plupart iront travailler dans les entreprises locales, les fermes environnantes pour les plus chanceux et les mines de fer et de charbon de Lorraine.
Ruine d’un bâtiment abritant certainement l’administration du Camp © photo personnelle
L’histoire du Camp de Ban Saint-Jean est resté longtemps oublié de tous. Le sort des prisonniers y ayant étaient internés, est encore assez flou aujourd’hui. Après la guerre en 1946, l’Armée française repris possession des lieux et y fit stationner le 151ème R.I ainsi qu’une partie du 2ème R.G mais le camp étant en mauvais état, il fut abandonné en 1948 et servira jusque dans les années 1990 comme lieu de manœuvres et d’entraînements. Aujourd’hui, ce lieu a été restitué à la commune de Denting pour le franc symbole par l'armée.
D’octobre 1941 à l’automne 1944, 300 000 prisonniers ont transités dans ce camp, confrontés à un travail dur, exposés aux maladies et aux manques de nourritures, plus de 23 000 personnes auraient péri dans ce lieu selon une plaque trouvée sur place à la fin de la guerre. Plus de 28 000 d’après les chiffres avancés par les autorités allemandes.
Maison d’officier dont l’état est encore assez correct © photo personnelle.
Dès la fin de la guerre en Octobre 1945, 206 fosses furent découvertes renfermant chacune d’une vingtaine à plus d’une centaine de corps selon les constations de l’époque. Le nombre présumé de victimes fut corroboré par les exhumations par des prisonniers de guerre allemand quelques temps après. Des témoignages recueillis d’anciens habitants, atteste de la présence d’un four crématoire sur place mais impossible de vérifier et d’enquêter, le site étant interdit d’accès.
Après 1947, le Camp tomba dans l’oubli et dans l’indifférence de tous. En 1978 cependant de façon inattendu l’ URSS demanda à ce que les corps soient exhumés afin d’être regroupés à la Nécropole Soviétique de Noyers-Saint-Martin. En plein milieu de la nuit dans des conditions climatiques des plus défavorables et à la surprise de tous, le cimetière de Ban de Saint-Jean fut creusé et les ossements furent emportés dans des sacs plastiques. Officiellement l’Etat français a acté l’exhumation de 2 879 dépouilles et a conclu que seul ce nombres de détenus ont péri dans ces lieux.
Casernement et garage © photo personnelle.
Ce chiffre officiel fait fortement polémique dans les milieux avertis. Depuis plus de vingt ans maintenant, Mr Gabriel Becker agrégé d’allemand et vice président de l'AFU ( Association Franco-Ukrainienne pour la réhabilitation du Ban Saint-Jean) oeuvre afin que le site soit reconnu comme un lieu de mémoire en hommage aux milliers de victimes Ukrainiennes et Soviétiques.
Seul de nouvelles fouilles, systématiques et approfondies, pourraient lever le voile qui entoure le nombre de victimes qui périrent à Ban Saint-Jean. Mais à ce jour, la commune de Denting semble avoir un autre projet pour le site, à savoir l'installation d'un parc photovoltaïque de 35 hectares et la pose de 6 éoliennes à côté de ce lieu de mémoire. Autant dire que ce projet n'est pas vraiment bien accueilli au sein de la population.
Vue aérienne du Ban Saint-Jean © Pan Doktor
Si un jour, un musée-mémorial venait à voir le jour et des fouilles entreprises minutieuses, qui viendraient corroborer le nombre de victimes du Ban Saint-Jean, ce lieu deviendrait alors dans les mémoires comme l’endroit où périrent le plus grand nombre de prisonniers de guerre sur le sol de France.
Inauguration d'une stèle sur le site le 24 Juin 2012
( © photo personnelle, en 1989-1990, Maréchal des Logis au 61ème RA de Morhange, je fis des manœuvres dans ce lieu mais je ne savais pas à cette époque l’origine de ce terrain militaire. )
En juillet 1957, aux ETATS-UNIS, quatre mois avant l'émission de ce timbre, le Washington Post avait rapporté que le nombre de grues blanches s'élevait à 31 unités, la plus haute proportion depuis 1950, peu de temps après 34 grues furent recensées.
Après des décennies d'effort conjointes des écologistes américains et canadiens, la population devenue la coqueluche de l'Amérique est passée à 200 dans l'embryon original, en 2001 les marques d'une nouvelle population furent découverte dans l'Est des Etats-Unis.
La grue blanche d'Amérique reste l'une des espèces les plus rares d'Amérique du Nord et l'une des espèces les plus menacé dans le monde.
Les premiers timbres postaux américains estampillés " Wildlife conservation" furent émis en 1956, ils représentaient le dindon sauvage, l'antilope d'Amérique et le saumon king d'une valeur de 3 cents.
Ces trois timbres furent si populaires qu'il fut décidé dans émettre un 4ème en 1957 (notre timbre sur ce pli).
Premier jour d'émission, bloc de 4 "Whooping Crane" en date du 22 novembre 1957 de la Nouvelle-Orléans.
Plusieurs états ont émis simultanément la même avec des dessins différents sur l'enveloppe.
En juillet 1957, aux ETATS-UNIS, quatre mois avant l'émission de ce timbre, le Washington Post avait rapporté que le nombre de grues blanches s'élevait à 31 unités, la plus haute proportion depuis 1950, peu de temps après 34 grues furent recensées.
Après des décennies d'effort conjointes des écologistes américains et canadiens, la population devenue la coqueluche de l'Amérique est passée à 200 dans l'embryon original, en 2001 les marques d'une nouvelle population furent découverte dans l'Est des Etats-Unis.
La grue blanche d'Amérique reste l'une des espèces les plus rares d'Amérique du Nord et l'une des espèces les plus menacé dans le monde.
Les premiers timbres postaux américains estampillés " Wildlife conservation" furent émis en 1956, ils représentaient le dindon sauvage, l'antilope d'Amérique et le saumon king d'une valeur de 3 cents.
Ces trois timbres furent si populaires qu'il fut décidé dans émettre un 4ème en 1957 (notre timbre sur ce pli).
Premier jour d'émission, bloc de 4 "Whooping Crane" en date du 22 novembre 1957 de la Nouvelle-Orléans.
Plusieurs états ont émis simultanément la même avec des dessins différents sur l'enveloppe.
Livre d'or - Mon préféré
Trés bon site, ne jamais oublier l'histoire du passé et aussi du style vestimentaire que les gens portaient dans les années 1920 comme durant la seconde guerre mondiale.